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Le CBR se prépare à poursuivre les pro-avortements qui nous accusent de "fraude photographique" |
Le Dr.
Moore a publié aussi un texte populaire intitulé L'être
humain en développement, Embryologie orientée cliniquement,
Keith L. Moore & T. V. N. Perasud, 6ème édition, (©
1998 par W.B. Saunders) qui peut être utilisé pour
déterminer l'âge des bébés à
naître en page 91 (voir aussi les tables de la page 4 à 7).
Nous ne demandons à personne de nous prendre au mot. Ceux qui ont des
doutes peuvent se connecter sur notre site web et comparer ces
illustrations des manuels avec les photos correspondantes sur nos
pancartes GAP. En mesurant nos images, n'oubliez pas que de nombreux bébés avortés du premier
trimestre que nous montrons ont été déchirés par
l'opération d'avortement. Les morceaux déchiquetés
de leurs corps ont été seulement approximativement
reassemblés pour la prise de vue. Des élongations dues
à l'avortement, des déchirures et autres déforment
le tissu fragile de ces très petits bébés non
nés.
Bien sûr, aucune preuve ne pourrait satisfaire des pro-avortements
dogmatiques. Ils ne reconnaîtraient la légitimité d'aucune
photo d'avortement, quand bien même ils prendraient eux-mêmes
les photos d'avortements exécutés en leur
présence. Mais pour ceux qui se posent sincèrement des
questions, ceux qui cherchent de bonne foi, les sources ci-dessus
répondront à chaque question sensée.
On nous demande parfois comment et à
partir de quelles sources nous avons compilé notre énorme bibliothèque (peut-être la plus
grande du monde) de photos et de vidéos
de bébé avortés. Naturellement, les termes de nos
accords d'acquisition interdisent la révélation de cette
information. Si nous devons divulguer cette information dans le cadre
des procès que nous préparons, nous le ferons “in
camera,” ce qui signifie dans la chambre d'un juge, à titre
confidentiel, de telle manière que l'information sera
scellée et ne sera jamais rendue publique. Il n'y a pas besoin
d'être un génie pour comprende pourquoi. Nous sommes
préparés, cependant, à dire que nous rejetons la
désobéissance civile pour les raisons tactiques (et la
violence pour des raisons morales) et donc nous n'utilisons que des
moyens légaux pour acquérir les images.
Une analogie partielle peut être utile pour expliquer les
tenants et aboutissants de l'obtention et de l'utilisation de ces images choquantes. Le numéro du 24 au 31 juillet 2000
de U.S. News & World Report a publié les lignes suivantes à propos de l'espionnage durant
la Seconde Guerre mondiale :
Jan Karski
n'a jamais pris d'assaut une plage ni volé dans un avion Allié mais il était l'un des
grands héros de Seconde Guerre mondiale. Déguisé en garde nazi, ce
courrier polonais [membre du réseau juif] s'est introduit
furtivement dans le camp de la mort d'Izbica, puis a fait un voyage
périlleux à Londres pour raconter les tortures et le
massacre de masse qu'il avait vu. Il est mort la semaine
dernière à l'âge de 86 ans.
Ce numéro du 24 juillet
2000 de Newsweek rapporte que M. Karski a livré aux Alliés le
«les premiers comptes-rendus de témoin oculaire» de
l'Holocauste mais que son récit d'horreur était si
écoeurant que «peu pouvaient croire ce qu'il avait
rapporté.» Avant que le CBR ne commence à utiliser les photos,
nous avions le même problème pour convaincre les gens du
fait que l'avortement est d'une atrocité indescriptible.
Le
CBR ne «s'introduit pas furtivement» dans les cliniques
d'avortement, mais dans un certain sens, les analogies entre notre
travail et celui de Jan Karski sont considérables. Il y avait
une négation massive de l'Holocauste parmi les Alliés au
début de la Seconde Guerre mondiale et beaucoup n'osaient croire
qu'une chose aussi monstrueuse puisse vraiment arriver. Il en est de
même pour l'avortement aujourd'hui. M. Karski ne pouvait malheureusement
pas utiliser un appareil-photo pour rendre son rapport étonnant plus crédible.
Cependant le numéro du 3 avril 1995 de U.S. News & World Report
décrit la différence énorme qu'une photo de
l'Holocauste aurait pu faire : «de nombreux GIs [qui avaient
aidé à libérer les camps de la mort] avaient
apporté des Kodaks et ... des Leicas, ils ont
photographié des scènes d'horreur comme les photographes
de police sur des scènes de crimes. Sans preuve photographique,
qui aurait cru leurs récits ?» Et l'article poursuit ainsi :
Le Post-Dispatch et l'Evening Star
de Washington [ce sont des journaux] assemblèrent
précipitamment une exposition de photos sur
les atrocités des camps, intitulée
«de peur que nous n'oublions.» Les panneaux photographiques
de 4 mètres de haut furent d'abord
exposés à la Bibliothèque de Congrès avant
de voyager vers Boston et les villes du Midwest. Pendant les trois
semaines humides et chaudes d'été que dura l'exposition
à Washington, près de 90.000 Américains se sont déplacés
pour venir la voir.
Cette
exposition sur les camps de la mort ressemble beaucoup au Projet de
Conscientisation au Génocide (GAP) du CBR. Il est peu probable,
cependant, qu'une tournée avec les photos de l'Holocauste
eussent attiré beaucoup de spectateurs dans l'Allemagne
d'après-guerre. Les Allemands d'un certain âge
préfèrent toujours ne pas voir les photos
d'extermination. Les Américains ayant certains
arrière-plans refusent particulièrement de voir des
images d'avortements.
C'est peut être aussi la raison pour laquelle des citoyens de ces deux
pays crient à la «falsification» en voyant les
photos qui exposent leur culpabilité et leur honte.
En conclusion, nous avons besoin de votre aide pour documenter les
exemples de mensonges pro-avortements à propos de "la fraude
photographique" du CBR. Si vous êtes au courant de déclarations
conçues pour discréditer notre organisation, notez-les soigneusement et
passez-nous s'il vous plaît l'information. Et lorsque le temps en
sera venu, nous ferons un exemple de ceux qui attaquent
l'intégrité des pro-vie dont ils savent qu'ils ne peuvent
les vaincre dans un débat honnête.
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