Tromperie sur la marchandise : la "pilule" n'est pas ce que disent ses promoteurs
Situation française :
Fin Juin 2000, le Conseil d'État a déclaré la distribution de la "pilule du lendemain" par les infirmières scolaires illégale.
Mais la bande des quatre (Lang, Aubry, Royal, Gillot) n'a eu que mépris pour cette décision juste et en décembre 2000 ont fait changer la loi qu'ils avaient violée, prétextant les "droits sexuels des jeunes" !
Les gouvernementeurs
Aujourd'hui, le gouvernement français prétend faire diminuer le nombre d'avortements en promotionnant la "contraception", à grand renfort de spots TV et radio. Le gouvernement vous ment ; jusque dans les manuels de classe, il raconte que la contraception chimique empêche l'ovulation, qu'elle évite la fécondation : aucun être humain ne serait donc conçu et il ne s'agirait pas d'un avortement. C'est une manipulation de plus :
  • 1) la "contraception" hormonale est abortive! Et surtout les nouvelles drogues faussement intitulées "minipilules" et "pilules du lendemain".
  • 2) la santé des femmes est sérieusement mise en danger par les fortes doses d'hormones synthétiques.