Lorsque courant Juin, les politiciens des anciens pays Alliés se sont rassemblés en Normandie pour commémorer le sacrifice des troupes anglo-américaines venues chasser les nazis de notre pays, personne ne leur a dit que c'était une hypocrisie, un jeu d'acteurs.

Nous le disons aujourd'hui : la France, comme la plupart des pays d'Europe a actuellement une mentalité nazie, depuis le plus haut niveau ; la France extermine 350 000 enfants par an avant leur naissance (sans compter ceux que les poisons contraceptifs éliminent) ; les ministres de la santé (sic) depuis l'infâme Simone Veil organisent le massacre, mais cela ne leur suffit pas ; ils ont décidé de s'attaquer aux personnes handicapées, qui pour eux représentent un poste de coûts important puisqu'il inclut les EPAD, etc. : ce que visent apparemment les politiques, c'est l'instauration d'une politique d'élimination des vieux et des malades, comme en Belgique ou aux Pays-Bas ; le fond de la politique nazie est revenu à la mode en Europe.

Pour faire passer cette abomination, ils animent des jeux de rôle tartuffesques :

• nous avons le Macron qui vient faire des mamours aux Catholiques en faisant une conférence aux Bernardins, tout en ne leur promettant rien,

• nous avons 37% des « catholiques pratiquants » qui ont voté pour la liste de ce Macron aux élections européennes, alors qu'ils savent pertinemment qu'il est imprégné d'une idéologie anti-chrétienne, qu'il veut offrir des enfants aux LGBT, qu'il soutient et honore l'idéologie abortiste de Simone Veil, etc.

• nous avons des promesses de s'intéresser aux autistes (comme déjà Sarkozy en 2005) alors que tout est fait pour empêcher le développement de soins adaptés,

Puis viennent en alternance les offensives :

• par l'ingérence de l'état dans la vie des familles par une politique vaccinale renforcée, dont on sait aussi très bien qu'elle est dangereuse pour les jeunes enfants, mais qu'elle enrichit les fabricants de vaccins,

• par l'intervention de l'état français pour monter en cassation pour faire tuer Vincent Lambert (où est la neutralité affichée?) La cour de cassation demande donc l'arrêt des soins : vocabulaire mensonger, il n'y a pas de soin, mais on veut lui retirer l'eau et la nourriture, et l'endormir pour que le meurtre soit plus discret. Resterait-il un naïf qui ait encore « confiance dans la justice de son pays ? » Toujours est-il qu'un état, surtout s'il se prétend « démocratique », n'a pas le droit de vie et de mort sur ses citoyens.

• par une campagne de désinformation massive dans laquelle des journaleux (dont un du Figaro) à la solde de l'état français se mettent à insulter les parents de Vincent Lambert, parce que Catholiques de tradition, et où ils parlent à son propos de « fin de vie », alors qu'il n'est qu'handicapé suite à un accident,

• nous avons aussi les candidats bourreaux et leurs aficionados qui s'expriment à la TV d'une manière onctueuse pour réclamer la tranquillité et la paix, afin d'accomplir leur forfait sans être inquiétés. Se croyant dédouanés par la cour de cassation, ils ont repris cette semaine leur tentative de faire mourir Vincent de faim et de soif ; de nouvelles poursuites pénales devraient normalement les arrêter.

Tout cela ressemble furieusement à l'Aktion T4 d'extermination des handicapés physiques ou mentaux sous les socialistes nationaux allemands des années 1939-45.

La femme de Vincent prétend qu'il aurait exprimé sa volonté d'être euthanasié et, en tant que tuteur, demande donc sa mort. Elle ne voit d'autre solution que la mort de Vincent et le contraint à rester prisonnier dans un mouroir qui ne lui fournit aucun des soins dont il a besoin. Nous voyons cela comme une rupture de l'alliance de mariage où les époux se doivent mutuelle assistance, pour le meilleur et pour le pire, dans la santé et la maladie.

Les parents de Vincent, qui veulent protéger la vie de leur fils, comme tous parents dignes de ce nom, savent où le faire véritablement soigner, mais ils se heurtent à ceux qui veulent le faire mourir et refusent tout déplacement :

• l'hôpital (ou plutôt sa geôle avec couloir de la mort), alors que son rôle devrait être de soigner,

• le ministère de la santé (ou plutôt de la mort), qui ne devrait même pas exister, tant il nuit à la santé de la population,

• l'exécutif qui n'a jamais réussi à cacher sa philosophie eugéniste, malgré les talents théâtraux du président.

Ces obstacles et ces institutions mortifères, Dieu peut les balayer comme il veut ; « Car l'Éternel a en horreur les hommes pervers, mais il est un ami pour les hommes droits. » (Proverbes 3:32)

Prions qu'Il anéantisse leurs projets répugnants d'extermination de ceux qui ne peuvent se défendre, à commencer par Vincent Lambert.