COMMUNIQUÉ du 07/06/2017 : Macron, la continuité du néant socialiste

Lors du second tour des élections présidentielles du 7 mai 2017, le candidat Macron a été élu, à 66% disent les journaleux. En réalité, en tenant compte des votes blancs et des abstentions, il n'y a que 43% du corps électoral qui a voté Macron, et parmi ceux-ci, presque une moitié ont en fait voté contre Marine Le Pen. On est loin du vote de conviction, et tant mieux.
Autant Hollande était détesté, autant sont successeur a été soutenu par la presse et tout l'establishment.
Si Macron a un physique moins ingrat que Hollande, il a le même esprit, un esprit socialiste, eugéniste et anti-chrétien. Tous deux ont été nourri par des institutions chrétiennes, tous deux sont des adultères non repentis et tous deux ont apostasié. Cela leur donne une grande arrogance et ces grands donneurs de leçons ont un grand sens de la « morale » : Macron veut « moraliser » la vie politique !
Lors de son intronisation, Macron a fait la louange de Giscard, Chirac, Mitterand, Sarkozy et bien sûr Hollande ; tous ceux qui depuis Giscard, ont organisé et maintenu le génocide de l'avortement.

Comme tous les socialistes, Macron a un programme extraordinaire pour « réformer » l'état et la société, retrouver la croissance et la prospérité, pour assurer la sécurité et le bonheur !
Ce sont des promesses futiles et irréalisables, comme les font tous les tyrans depuis des millénaires.
De plus, Macron soutient toutes les âneries qui l'ont précédé (avortement, « mariage » homosexuel, COP21, etc.) et veut légaliser la GPA (gestation pour autrui) au profit du lobby homosexuel, dans une grande vision anti-famille, pro-euthanasie et eugéniste. Il prétend aider les autistes sans surtout remettre en cause une des causes majeure de l'autisme : la politique vaccinale d'état. S'il poursuit la politique de son prédécesseur, la liberté de l'enseignement est aussi menacée...

Car les chefs politiques n'apportent généralement pas la guérison à une société, ils apportent plutôt la mort, la guerre, la misère et des taxes supplémentaires.
Ainsi, Giscard a légalisé le meurtre anté-natal, ce qui nous vaut aujourd'hui plus de 10 millions d'enfants manquants, génocidés par les plus de 700 centres d'extermination français. Ses successeurs sans caractère n'ont jamais osé remettre en cause ce génocide.
Une société qui tue ses enfants n'a pas d'avenir, sauf celui d'être remplacée par une autre société qui respecte plus ses propres enfants, ce qui est en train d'arriver avec l'Islam.

Les politiques qui prétendent résoudre les problèmes de la France sans arrêter le génocide sont des charlatans et des menteurs ; tous les partis de quelque importance sont aujourd'hui contaminés ; ils ne représentent donc aucun espoir, et leur mise au rencard est plutôt une bonne nouvelle.
Cela n'est pas surprenant, car le Christianisme enseigne que le rôle de l'état est de faire respecter la loi, pas n'importe quelle loi, mais celle de Dieu. L'état ne doit être qu'une institution au pouvoir limité, sobre en taxes (moins de 10% du PNB), qui s'occupe de justice et non de santé, d'économie, d'éducation, de charité ou de vouloir changer la nature humaine ou la société, etc.

Malheureusement, l'état moderne est tyrannique, ce qui signifie qu'il viole lui-même la loi de Dieu (notamment en organisant le génocide des enfants à naître, et en opprimant par des taxes confisquant plus de 45% du PNB). Il se prend pour Dieu et prétend apporter le salut (santé, prospérité, paix, climat, ...) alors qu'il n'apporte que le malheur (médecine corrompue et criminelle, mort, misère et taxes, guerres et dépenses inutiles...) Le socialisme est la forme moderne de la tyrannie et le 20ème siècle l'a vu à l'oeuvre dans toute son horreur. Malgré l'implosion de l'URSS, les partis français, du Front National aux partis communistes, en passant par LR et les macronites, ont conservé la vision du monde socialiste.

L'objectif des Chrétiens normaux^¹ a toujours été et doit être de réduire le pouvoir de cet état tyrannique, de manière à vivre en paix, et à écarter le jugement de Dieu qui vise les sociétés ainsi corrompues.

Pour progresser vers cet objectif, il sera utile d'empêcher le Macron d'obtenir une majorité aux prochaines élections législatives^² : un état impuissant et sans argent est moins nuisible.

A plus long terme, il est important que les églises et les Chrétiens redécouvrent comment bâtir une société chrétienne sur la base de l'enseignement biblique, c'est-à-dire avec une vision de la Chrétienté et donc en dehors des subventions et organisations étatiques.

1. Nous avons en France un gros problème avec les évêques de l'église catholique romaine : déjà lors du vote de la loi Veil, ils n'étaient pas intervenus pour défendre la vie humaine innocente. Et en 2017 on entend à la radio le chef des évêques (Pontier) déclarer que le problème que l'état doit résoudre en priorité est : le chômage ; et il souhaite que Macron puisse travailler avec la future assemblée. Pontier n'a donc aucune notion de ce que la Bible enseigne clairement sur les relation entre les Chrétiens et un état anti-chrétien. Le rôle d'un évêque est d'enseigner sur une base biblique, pas sur une base socialiste !
Déjà un Fillon a été écarté à cause d'une absence de vision du même ordre ; prions aussi que cet évêque soit aussi écarté.

2. La difficulté d'obtenir une opposition réelle à l'Assemblée tient en la faiblesse de la « droite » : même en dehors des collaborationnistes, nombre de ces politiciens dits « de droite » ne font que copier les socialistes avec quelques années de retard, en parlant maintenant « transition énergétique », « changement climatique », « droits de la fââmme », etc. La droite, ayant évacué ses racines chrétiennes, n'a en fait plus aucun argument réel à opposer à la tyrannie socialiste, et ne représente plus que du vide. Sa seule possibilité de développement est de s'inscrire dans le cadre de la Chrétienté.