Dans la nuit du 18 au 19 mars 2015, c'est-à dire pour préparer l'Annonciation (25/03/2015), les socialauds ont trouvé bon de supprimer le délai de réflexion de 7 jours qui devait jusqu'ici précéder la mise à mort des enfants à naître par avortement. La clause de conscience des médecins a survécu de justesse, mais, de toutes manières, elle n'est pas respectée.

Cette décision mortifère suit de peu l'abominable légalisation de l'euthanasie en France le 17 mars.

Le message que ces iniquités législatives traduisent est le suivant :

"TLTV : tuez-les tous vite ! L'être humain, dans la vision du monde nationale-socialiste de nos dirigeants, n'est qu'une marchandise, au mieux un animal, dont il convient de se débarrasser quand il n'est pas rentable, surtout s'il est sans défense, sans dents : avant la naissance il ne peut pas se plaindre, très vieux ou malade il ne peut plus s'exprimer."

La seule question qui reste est la suivante : A qui le tour ?

Les handicapés ? Les malades ? Les Juifs?  Les Chrétiens ? Les Musulmans ? Les opposants ? Les gêneurs ? Les drogués ? Les alcooliques ? Les chômeurs ? Les autres ?

En tous cas, les sans-défense et les sans-dents !

Déjà une politique fasciste de flicage généralisée de la population se met en place, alors que l'état français est incapable d'empêcher quelques grands criminels récidivistes connus de commettre des attentats meurtiers : il prétend qu'ils sont trop nombreux, alors qu'ils ne sont qu'une cinquantaine et que la "justice" se hâte toujours de les remettre en liberté.
Il est vrai qu'ils partagent les mêmes valeurs de culture de mort que les dirigeants politiques actuels, ceci expliquant peut-être cela.

Car qui est le plus criminel ? Celui qui tue 20 civils à la mitraillette, ou celui qui organise dans son bureau le génocide de 220 000 enfants par an, et l'euthanazie des malades et des vieux (pardon, des seniors en fin de vie !) ?