COMMUNIQUÉ DE PRESSE
le 24 juillet 2004
Le RU486 va tuer
encore plus
Le ministère de la
santé français vient de donner hier le feu vert à
l'avortement chimique à la maison.
C'est une décision dangereuse pour la
santé publique. En effet, des centaines de milliers d'enfants et
des dizaines de femmes ont déjà été
tuées par le cocktail RU486 + prostaglandines.
Cette décision va augmenter le nombre des
victimes car ces drogues puissantes se révèlent encore
plus dangereuses sans supervision hospitalière directe.
De plus, les
pharmaciens n'ayant toujours pas la clause de conscience deviennent une
profession suspecte : qui pourra faire confiance à ceux qui
participeront
à l'empoisonnement de leurs semblables ?
Et qui osera confier sa santé à un
médecin qui sera impliqué volontairement dans
l'extermination chimique des enfants ?
La liste des victimes connues des cocktails au RU486
commence à être longue :
- 1991 : Nadine Walkowiak
première victime
française connue
du RU486. Le procès gagné par la famille des victimes
coûte 700 000 F. à l'assurance de l'hôpital de Lens.
- 01/09/2001 :
à Vancouver (Canada, B.C.) une femme meurt d’une
gangrène partie de son utérus qui a intoxiqué ses
organes
vitaux et provoqué un arrêt du cœur. Elle avait pris 9
jours
avant du RU486 + misoprostol (Cytotec) lors d’un test clinique. Cette
campagne de tests cliniques orchestrée par un groupe
eugéniste est
interrompue.
- 12/09/2001 :
dans le conté d’Hamilton (USA, TN) Brenda A. Vise, 38 ans,
meurt
d'une infection massive résultant d'une grossesse
extra-utérine
rompue, 5 jours après avoir pris du RU486 à la clinique
d'avortement de Knoxville, qui n’avait pas détecté le
caractère extra-utérin de la grossesse, malgré une
échographie. Procès.
- 22/10/2001 :
l’État chinois communiste interdit la vente en
pharmacie du RU486. Une telle
décision ne peut que résulter du décès de
dizaines
de femmes tuées par le produit.
- 16/11/2002 :
à Alexandrie (USA, VA) une femme de 26 ans est morte des
suites
d’une "procédure médicale" à la clinique
d’avortements Landmark Women's Center, qui utilisait le RU486. La
clinique
fait de la rétention d’informations mais le RU486 est
suspecté.
- 03/06/2003 :
à Uddevalla, en Suède, Rebecca Tell Berg
âgée de 16
ans est morte après avoir pris du RU486 (Mifegyne) + Cytotec. On
l’a retrouvée dans sa douche, vidée de son sang. La
procédure avait parfaitement été
respectée.
- 17/09/2003 :
à Hayward (USA, CA), Holly Patterson, 18 ans, meurt
après
avoir visité le planning et pris du RU486 : infection
utérine.
Pour une fois, la couverture médiatique est importante : les
parents
à l’insu desquels tout s’est passé ont exprimé
leur peine et leur colère.
- En janvier
2004 on apprend par le ministre de la santé britannique que
depuis 1991,
il y a eu 2 femmes tuées au RU486 en Grande Bretagne (2
rapports
de "réactions fatales suspectes en association avec le
Mifegyne"). Cette
information, très probablement tronquée, n’a
filtré
que grâce à une question parlementaire officielle
déclenchée par l’affaire Holly Patterson.
- 08/01/2004 :
à Detroit (USA, MI) Tamia Russell, 15 ans, meurt
à la suite
d’un avortement de 2ème trimestre. Le RU486 est suspecté
d’avoir causé l’infection mortelle, il y a eu infarctus
utérin. Les parents n’étaient pas au courant de
l’avortement de leur fille alors que la loi locale requiert le
consentement parental.
La Commission
Internationale
d’Enquête sur le RU486 que nous avions
suscitée en 1990 avait déjà averti que cette
drogue est une
grave erreur technique et qu’elle tuerait de nombreuses femmes. Les
autorités sanitaires de l’époque, surtout
préoccupées d’idéologie, ont méprisé
l’avertissement, ainsi que leurs successeurs et les médias
chargés de les servir.
En France depuis
1991, date de la mort de Nadine, aucune nouvelle des victimes
françaises
suivantes n’a filtré dans la presse, peu curieuse. L’omerta est
quasi totale
mais on peut raisonnablement estimer que des dizaines de
femmes ont
succombé au RU486, comme en Grande-Bretagne. Il est en effet
assez
facile de ne déclarer que la cause apparente de la mort
(infection,
problème cardiaque, etc.), surtout si les intérêts
de la Mafia de l'avortement, et partant, de l’État qui
la parraine, sont en jeu.
L'État
français montre une fois de plus qu'il est au service de la
Mafia de l'avortement et
qu'il méprise totalement les enfants, les femmes, et les
professions de santé.