COMMUNIQUÉ DE PRESSE
le 17 janvier 2004
Loi Veil : 29 ans de génocide légal
La loi Veil a tué officiellement 7,25
millions d'enfants dans le sein de leurs mères en France
(250.000 x 29 ans). Mais l'ampleur du génocide est
à multiplier au moins par trois puisque tout le monde sait
que les "contraceptions" hormonales, distribuées depuis 1967,
sont aussi abortives.
Ce désastre a des conséquences nombreuses :
- La France est un pays de vieux qui a une économie de
vieux, aucun dynamisme, bientôt l'écroulement des
systèmes de retraites et de sécurité sociale ; le
gouvernement français ne sera pas capable de l'empêcher,
ni par les remèdes homéopathiques qu'il a déjà
proposés, ni même en aggravant la spoliation
déjà massive de ceux qui travaillent.
- La criminalité s'est multipliée dans des
proportions gigantesques ; quand il est légal de tuer un enfant
dans le sein de sa mère, il apparaît aussi naturel de tuer
son prochain. Ce ne sont pas les mesurettes théâtrales
d'un Sarkozy qui inverseront la tendance, car on ne soigne pas la
gangrène avec du fond de teint.
- Un peuple qui tue ses enfant encourt le jugement de Dieu ; ses
enfants tueront leurs parents, on appellera cela l'euthanasie des vieux
; une belle "compassion" avec héritage à la clef.
Malgré ce désastre évident, les politiques s'efforcent d'aggraver encore la situation :
- En été 2001, les socialistes ont voté une
loi d'aggravation de l'avortement qui protège encore plus les
tueurs, qui étend le délai d'avortement et qui
prévoit l'assouplissement du trafic de produits abortifs.
- En
mai 2002, plutôt que de revenir sur cette politique
eugéniste, le gouvernement suivant sort le décret
d'application qui prévoit la distribution du pesticide
anti-humains RU486 par les pharmaciens afin de faire avorter les femmes
chez leurs médecins plutôt qu'à
l'hôpital (sans prévoir d'ailleurs de clause de conscience
pour les pharmaciens).
- En décembre 2003 les députés on
adopté une loi dite de bioéthique digne de Mengele :
alors que cette loi prévoyait déjà le meurtre des
enfants congelés depuis 5 ans, elle permet maintenant
l'expérimentation destructive sur l'être humain ainsi que
son dépeçage pour lui voler ses organes, sous
prétexte de faire avancer les "progrès de la science".
- En janvier 2004 le ministre de la "santé" français,
après avoir conçu cette loi Mengele, affiche sa
volonté de légaliser l'euthanasie en rejetant le terme de
"meurtre" pour décrire le récent homicide par sa
mère d'un jeune homme handicapé. Ce même ministre
reçoit une poignée de sorcières eugénistes
et le syndicat des avorteurs pour leur faire des promesses de faciliter
encore leur business criminel. Il continue ainsi la politique minable
du ministre de la "santé" socialiste précédent.
- Le ministre de la "justice" baisse sa culotte devant la
même mafia et s'oppose à l'amendement Garraud qui
prévoyait un minimum de justice pour indemniser les femmes
avortées contre leur gré. Ce même ministre a
déjà démontré sur le site Internet de son
ministère sa position pro-euthanasie.
- Sous prétexte de faire changer la mode vestimentaire des
jeunes filles musulmanes à l'école (il les
préfère en minijupes et en clientes de la
révolution sexuelle), le gouvernement prépare une loi
dite de "laïcité" qui vise à réduire encore
la liberté religieuse en France et dont l'intolérance se
traduit déjà par une persécution croissante des
Chrétiens.
En méprisant les Lois du Créateur, l'État français se prend pour Dieu,
comme toutes les grandes tyrannies. En légalisant le meurtre, la
France est devenue un pays barbare dont les leçons de morale au
plan international sont le comble du ridicule.
Le président de cette république, en signant la loi
Veil-Giscard, avait déjà exprimé son attachement
primordial à sa propre carrière avant toute chose. Il est
grand temps que cette classe politique rejoigne dans les poubelles de
l'histoire les grands criminels d'État du XXème siècle.
La Trêve de Dieu