COMMUNIQUÉ DE
PRESSE le 05/10/2000
PILULE DU LENDEMAIN ET MALETTE LANG
OU COMMENT DONNER DE LA CHAIR FRAICHE AUX PRÉDATEURS
L'Etat français socialo-communiste tient absolument à répandre
la révolution sexuelle parmi les jeunes des écoles. Il a besoin en
effet de citoyens malléables et manipulables à merci, et la corruption
sexuelle est l'outil idéal pour atteindre ses objectifs.
Le parlement discute aujourd'hui de la diffusion sans contrôle de la pilule
dite du lendemain. Il ne s'agit pas d'un débat, puisque Martine Aubry n'en
veut pas, elle ne tolère aucune opposition. Or la vérité
a la peau dure et voilà ce qui commence à être bien connu :
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la révolution sexuelle, facilité par les "contraceptions"
hormonales, est une catastrophe pour le peuple, car elle l'appauvrit, l'affaiblit,
le rend malade et malheureux, et elle détruit tout lien social. Ou sont les
lendemains qui chantent ?
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les "contraceptions" hormonales sont abortives (cf www.trdd.org), et prétendre le contraire c'est refuser la
science moderne, c'est de l'obscurantisme,
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la contraception favorise l'avortement (cf INED) et prétendre rendre l'avortement
rare en promotionnant la contraception (surtout abortive) est au mieux stupide,
au pire criminel,
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les prétendues féministes ne défendent pas l'intérêt
des femmes mais celui des industries pharmaceutiques et du lobby eugéniste,
dont l'antenne française est le Planning dit Familial,
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l'Etat cherche à augmenter son pouvoir en détruisant l'autorité
des parents,
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le fascisme et l'oppression ne sont pas du côté des pro-vie mais du
côté des eugénistes. L'Histoire nous l'enseigne, mais beaucoup
ont dû sécher les cours.
Tout ce qui reste aux politiciens aujourd'hui, c'est la révolution sexuelle,
outil de contrôle et d'oppression politique. Mais elle craque de partout et
ne peut tenir que par le contrôle de l'information (la censure et la
propagande eugéniste), l'argent (qui coule à flot dans les
caisses des castrateurs et empoisonneurs) et la répression (les poursuites
injustes dont les dissidents sont l'objet).
Un mur est tombé en 1989, mais, semble-t-il, la France l'a oublié.
Thierry LEFEVRE
président