Charlatan : « Celui qui exploite la crédulité publique, en vantant ses produits, sa science, ses qualités.
Guérisseur ou médecin ignorant et sans conscience. »

Nous sommes ici dans la définition des politiciens modernes : ils promettent tout et ne peuvent respecter leurs promesses ; ils se mèlent de tout et créent de nouveaux problèmes en prétendant en résoudre.

Les politiciens sont choisis par des électeurs qui ont perdu la foi en Dieu et qui l'ont remplacée par la foi en l'état. L'état peut alors étendre son emprise :

• sur l'éducation (en produisant de jeunes barbares incultes et dépendants de l'état),

• sur l'économie (en ajoutant chaque jour de nouvelles taxes qui ruinent les familles), en prétendant exercer une « providence » et une « justice sociale »,

• sur le droit (en le tordant : avec l'invention d'un « mariage » homosexuel, avec la promotion du meurtre des enfants à naître au rang de droit de l'homme ; en absolvant les tueurs de malades et de vieux),

• sur la médecine (en la corrompant et en l'empêchant de soigner correctement) ; cette grande ingérence a commencé il y a plus d'un siècle, mais l'année 2020 aura été le théâtre d'une plus grande ingérence encore :

Avec l'épidémie de grippe chinoise de début 2020, la nocivité des politiciens en matière de santé et de médecine est apparue encore plus manifestement.

• Le ministre Véran a favorisé l'avortement pendant les confinements, tuer les enfants à naître est pour lui une activité essentielle, plus essentielle que les dentistes :
  Il a saisi la "Haute autorité de la Santé" qui acceptait, le 10/04/2020 l’allongement du délai des avortements chimiques à domicile, passant de 7 à 9 semaines d’aménorrhée, après une télé-prescription par un bourreau agréé. Tout cela pour garantir la continuité du prétendu « droit » à l’avortement durant l’épidémie.
  Le Véran a aussi commis un courrier le 23 avril dans lequel il précise que dans le cadre d’un recours tardif à l’avortement (soit après 12 semaines), le médecin peut avorter par aspiration, sous le prétexte de “détresse psychosociale”.

• Il a aussi favorisé l'euthanasie des vieux dans les EHPAD par un décret facilitant l'utilisation de puissants sédatifs (Rivotril, etc.) qu'on devait injecter à ceux qui étaient malades et qu'on refusait d'hospitaliser, pour ne pas encombrer les hôpitaux (c'est du triage).

• Le président Macron s'est entouré d'un prétendu « conseil scientifique », composé de bureaucrates proclamés « experts » qui ne pratiquent pas la médecine, pour justifier ses décisions liberticides. Ces décisions s'avèrent particulièrement stupides et contraires à la santé de la population :

• L'état français a interféré dès avant 2020 avec la fourniture des masques de protection et des tests. Il a créé une pénurie : au moment du besoin (mars 2020), il était quasi impossible d'en acheter en France. L'état est incompétent en matière de logistique et prétend pourtant au monopole sur ces matériels.

• Les tests sont arrivés lentement, du fait de blocages bureaucratiques qui ont refusé l'aide des vétérinaires jusque vers le 9 avril. Puis quand ils sont devenus disponibles, ils ont été dévoyés : un test PCR n'est en soi pas un bon diagnostic car il ne prouve pas une infection, mais, de plus, on le pratique en France avec 42 cycles d'amplification (alors qu'au delà de 35, il perd toute signification) ; on se retrouve donc avec de très nombreux cas faussement positifs, ce qui entretient une panique et une dramatisation nuisibles.

• Des confinements généralisés et aveugles (au lieu de quarantaines ciblées pour les malades testés et pour les frontières), et par conséquent un désastre économique de très grande ampleur : une dépression durable comparable à celle de 1929-1939. On n'a pas pu prouver que ces confinements avaient un effet positif contre les épidémies, mais on sait que renvoyer un malade à la maison assure la contamination de sa famille. Des secteurs économiques entiers sont réduits à la faillite, et la liberté de culte a été entravée.

• Un traitement peu coûteux contre la grippe chinoise est utilisé avec un franc succès de par le monde (l'hydroxychloroquine + azithromycine + zinc) dès les premiers stades de la maladie ; mais la bureaucratie médicale française veut servir les intérêts d'un médicament très coûteux et totalement inefficace (le Remdesivir) : l'état a donc décrété que les médecins de ville ne pourraient plus prescrire l'hydroxychloroquine (fin mars 2020).

• L'état veut aussi dépenser beaucoup avec un vaccin (sans d'ailleurs en terminer les tests, ce qui promet une vague d'effets secondaires graves), plutôt que de se concentrer sur la prévention : le renforcement de l'immunité de manière simple et économique par des vitamines D et C et du Zinc.

• Des propagandes mensongères sont déversée journellement dans les grands médias : pour effrayer et infantiliser les gens, en inventant des concepts faux comme les malades sans symptômes qui seraient contagieux ! Et l'exécutif fait des décrets pour tenter de limiter la liberté d'expression des médecins...

Depuis au moins l'infâme trio VGE/ Chirac/ Veil (qui peuvent s'en mordre les doigts en enfer), les ministres de la santé travaillent à réduire l'espérance de vie des Français ; ils soignent l'intérêt de la caste au pouvoir au détriment de la santé et de la vie de la population :

• avortements de masse,

• vaccinations obligatoires dangereuses et inutiles,

• bureaucratisation de la médecine avec un monopole qui exclut la concurrence de médecines pourtant prometteuses (homéopathie, phytothérapie, électrothérapie, medecine énérgétique, etc.), tout en faisant grimper les prix,

• corruption générale des différentes agences censées contrôler les acteurs de la santé, etc.

En réalité les politiciens ne se soucient pas de sauver des vies humaines : ils prétendent vouloir aider la population à résister à l'épidémie, mais leurs actes prouvent le contraire : leurs recommandations ne sont pas fiables et leurs interventions sont nuisibles. Les guerres et les crises économiques ont toujours été de bonnes opportunités d'extension de leur pouvoir.

Dans la Loi biblique, la médecine ne peut être séparée d'un ministère spirituel : le mot salut et le mot guérison sont souvent synonymes. La médecine d'état avait fait reculer l'espérance se vie en Union Soviétique ; elle continue ici aujourd'hui.

Il devient urgent que la médecine soit libérée du joug étatique, et qu'on abolisse le ministère de la santé, l'ordre des médecins et les agences corrompues. Le choix libre des clients que sont les patients et leurs familles est plus sage et efficace pour défendre leurs propres intérêts et leur propre santé.