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Le ministère de l'écologie s'est doté d'un site internet pour accompagner son "Grenelle de l'environnement". Cette coûteuse opération, très relayée par une presse sans esprit critique, se décompose ainsi :
Cette mise en scène inclut aussi la visite d'Al Gore, le prix Nobel de la "paix" à cause de son film de propagande sur le "réchauffement" (il avait déjà participé au mythe des "armes de destruction massive" d'Irak) .
La première objection que les Chrétiens doivent faire à ce genre d'initiative, c'est que l'état n'a pas à se mêler des questions d'environnement. Ces dernières relèvent des relations de bon voisinage. L'implication de l'état amènera forcément des taxes et des contrôles supplémentaires au détriment des populations, déjà fortement surtaxées. Elle correspond à un modèle socialiste qui donne à l'état la place de Dieu.
La seconde objection tient à la
nature
mensongère de toute cette affaire :
l'état veut
imposer
des "solutions" à des problèmes imaginaires,
fondés sur le mensonge. L'exemple le plus important en est
la mythologie du "changement climatique".
Ainsi "Le
groupe de travail n°1 du Grenelle de
l'environnement
rappelle la réalité incontestable du changement
climatique et de ses impacts ainsi que l'épuisement
à
venir des ressources fossiles. Le GIEC (groupe intergouvernemental
d'experts sur l'évolution du climat) estime ainsi entre 1 et
6°C l'élévation de la
température moyenne
terrestre associée à ce changement climatique
d'ici la
fin du siècle." Cette phrase est le
début de
l'introduction du rapport n° 1
sur les "changements
climatiques" et la "maîtrise de l'énergie".
Elle qualifie ainsi de réalité incontestable une
théorie
fumeuse qui est contestée par tous les scientifiques
indépendants des finances de l'ONU. On est
mal partis pour un débat, d'autant plus que seuls
participent
les
adeptes des mythologies "écologistes" ainsi que les
"partenaires
sociaux" qui n'ont en réalité rien de
représentatif, mais qui comptent bien tirer profit de
nouvelles
réglementations iniques, au détriment de la
population.
La troisième
objection
relève l'hypocrisie des prétendus "sauveurs de la
planète". Ainsi l'état français
affirme s'intéresser aux
générations futures : il vient pourtant
de
faciliter la distribution du pesticide anti-humain, le RU486, et il
finance actuellement une campagne d'incitation à la
promiscuité
sexuelle à la télévision, en vantant
les mérites de la
contraception -- sans rappeler que cette dernière est
elle-même abortive et que son usage augmente le recours
à l'avortement.
Ces "sauveurs" veulent taxer le gaz
carbonique, inoffensif et
bénéfique, et ils veulent
parallèlement nous faire
avaler des hormones toxiques ; ils veulent
protéger les ours, les serpents et les loups (la
"biodiversité") tout en
facilitant l'extermination des enfants.
Les civilisations
vieillissantes et déclinantes -- gâteuses --
accélèrent ainsi leur disparition.
La
Bible, parole de Dieu, explique qu'il n'y a qu'un
seul sauveur,
Jésus-Christ, et que les organisations qui s'arrogent son
autorité son condamnées.
Le
rôle de
l'état doit selon la Bible être limité
à
l'administration de la justice, ce qu'il fait très
mal
aujourd'hui, protégeant les coupables (meurtriers,
pédophiles, etc.) et exterminant en masse les innocents
(enfants sans
défense avant leur naissance, etc.)
La Bible
explique aussi que le
climat est dans les mains de Dieu, et non des hommes, et que le
problème de l'homme n'est pas le temps qu'il fera
peut-être, mais son
péché. La prospérité et la
vie des hommes
dépend en
réalité de leur
allégeance à Celui qui règne sur la
terre comme au ciel : Jésus-Christ.