RU486 : Dieu frappe le CCNE à la tête

Le poison RU486 continue de tuer des enfants et des femmes, sans parler des centaines qui n'échappent à la mort que par la proximité d'installations lourdes de réanimation.

Oriane Shevin, la fille de Didier Sicard, tuée au RU486.Ainsi on apprenait à mi-août 2005 qu'une femme nommée Oriane Shevin, 34 ans, de Sherman Oaks (Californie) mourait après avoir utilisé le RU486. Elle est morte le 14 juin après avoir pris pour avorter du Miféprex (RU486 fabriqué à Shangaï pour Danco) et du Misoprostol (prostaglandine anti-ulcère fabriquée par Searle et détournée contre son avis dans cette utilisation criminelle). C'était une avocate qui avait déjà deux enfants. Elle est morte de septicémie à clostridium-sordellii, c’est-à-dire d’un empoisonnement du sang par cette bactérie très commune et généralement inoffensive. C’est la même infection qui a déjà tué Holly Patterson. [La FDA reconnaissait déjà en novembre 2005 que 4 morts de femmes étaient dues à cette cause et au moins l’une des 2 morts de mars 2006 semblent aussi s’y rattacher.]

Ce qu'aucun journaliste n'a relevé, alors que c'est une information publique, c'est qu'Oriane Shevin a pour nom de jeune fille Sicard, qu'elle était française et qu'elle était la fille du président du Comité Consultatif National d'Ethique français (CCNE), le machin imaginé par « Tonton » pour parer d'un côté moral les manipulations les plus sordides.

Le CCNE est l'illustration quasi parfaite du rêve satanique des origines : « vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal », ce qui signifie « définissant par vous-mêmes ce que sera le bien et le mal ».

Président du CCNE depuis 1999, le Dr Didier Sicard est issu du « protestantisme » libéral, c'est-à-dire du courant séculariste anti-chrétien (qui n'a de protestant que le nom) qu'on retrouve derrière la légalisation de l'avortement. Pour eux la morale est dépassée : « La société ne doit pas se comporter de façon morale vis-à-vis de ces nouveaux modes de parentalité [entre autres l'homoparentalité]. Le fond du problème c'est la tolérance.» (20 minutes, 28/11/2005, Interview de Didier Sicard)

Il n'y a aucune référence à Dieu et à sa Loi dans le discours libéral, il n'y a que l'autorité autoproclamée et arbitraire d'hommes qui s'imaginent des dieux. Et leur tolérance ne s'exerce qu'en faveur du crime, ils ne supportent pas Dieu ni sa Loi.

C'est ainsi que le CCNE a approuvé le RU486 en 1987 [avortement chimique], les diagnostics [eugéniques] pré-nataux et pré-implantatoire, l'«exception» d'euthanasie, la stérilisation des handicapés, les recherches destructives sur les embryons humains, etc. sur la base de raisonnements arbitraires flous, ambigus et sujets à révision en fonction de la mode, de l'évolution des techniques et des pressions politiques. Le CCNE se garde bien de contester le génocide de l'avortement. S'il le faisait, il serait certainement dissous. Il n'est qu'un agent servile de l'État, dont la politique depuis plus de 30 ans est une politique d'avortement de masse des «indésirables». Un bon CCNE serait un CCNE dissous, car son existence même est une insulte à Dieu.

Et il n'y a pas de hasard. C'est Dieu qui a frappé la fille du Dr Sicard et son enfant. Il lui rappelle ainsi, comme à chacun d'entre nous, qu'Il est le seul maître de la vie, qu'Il est le seul à définir le bien et le mal, et qu'Il est le seul à pouvoir nous gracier.

Les libéraux ont le cou raide, ainsi un site Internet libéral – prétendument protestant – publie ceci :

"Condoléances. Évangile et liberté a appris la mort soudaine et prématurée de Oriane Shevin. Nous tenons à assurer son mari Eric, ses jeunes enfants Eloïse et Ethan, ses parents Marie-Noële et Didier Sicard, ainsi que toute sa famille de notre profonde sympathie. Un service d'action de grâces s'est tenu à Paris au Temple de l'Oratoire du Louvre le vendredi 8 juillet dernier."

Action de grâces !? En remerciement de quoi ? De la justice de Dieu et de l’avertissement salutaire qu’elle exprime ? Mais alors pourquoi ce silence sur les causes de la mort «soudaine et prématurée» d'Oriane, et sur le message très sérieux que Dieu donne ainsi ? C'est tabou. Et la presse, aux ordres s'est bien gardée d'en parler.

Tabou aussi le nombre de femmes qui ont subi le même sort en France. Aux USA l'information circule plus publiquement et l'on connaît maintenant mieux la nature des infections favorisées par le RU486 : une étude a été publiée à ce sujet amenant à un débat sur l'interdiction de la drogue, et même le New-York Times a pondu un article (17/03/2006) ; du côté de la "grande" presse française, c’est l’omerta.

L’étude en question souligne l’effet de destruction de l’immunité qui est l’effet principal du RU486 et qui facilite donc les infections. C'est un des dangers principaux que nous avions déjà signalé dès 1990 avec la CIE (Commission Internationale d'Enquête) sur le RU486. Pour l’instant les différentes agences de santé étatiques (FDA, AFSSAPS, etc.) se réunissent et réfléchissent à ce fait, mais elles se bornent pour l'instant à faire des propositions cosmétiques comme de recommander le protocole qu’elles avaient préconisé, les avorteurs ayant eu tendance à utiliser un protocole différent et moins dosé (donc plus lucratif).

Il ne faut de toutes façons pas attendre de ces agences d’État qui sont complices du génocide de l’avortement qu’elles manifestent un quelconque respect pour la vie de leurs mères.

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