L'UNICEF
CONTRE LES
ENFANTS
Un
nouveau rapport
précise le soutien de l'UNICEF
à l'avortement et à une
politique extrémiste
Une
nouvelle étude
importante a
été publiée par le Groupe de Recherche sur les
Organisations Internationales (IORG) installé à New-York
; elle
documente de manière détaillée le changement
graduel du
Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF) depuis la
défense des
enfants menacés vers le rôle d'agence de promotion du
féminisme extrémiste. Cette étude intitulée
l'"UNICEF, les femmes ou les enfants d'abord ?" a
été
produite par le Groupe de Recherche sur
les
Organisations Internationales qui
est une branche de l'Insitut Catholique de la Famille et des Droits de
l'homme
(C-FAM).
Ce
document établit que
l'UNICEF a approuvé, et a même aidé à
écrire,
les nombreux documents qui réclament un accès plus facile
à
l'avortement et sa légalisation. Il a aussi été
découvert que l'UNICEF a financé des programmes qui
pouvaient
inclure des services d'avortement. L'UNICEF a financé un
programme du
Population Council, le groupe qui détient la license pour la
pilule
abortive RU-486 aux États-Unis. En 1997 l’ONU a diffusé
un
manuel pour les secouristes auprès des réfugiés
qui
encourage l'utilisation de la "contraception d'urgence" abortive ainsi
que
l'utilisation d'un dispositif portatif a appelé aspirateur
manuel
à vide [NDLR : voir description],
qui peut être utilisé pour
exécuter des avortements dans les tentes de
réfugiés.
L'UNICEF est
également soutien financier d'une organisation non
gouvernementale
sud-africaine, loveLife (sic) qui promeut activement l'avortement parmi
les
jeunes. Le site Web de loveLife dirige son audience d'adolescents vers
l'avorteur Marie Stoppes International tout en prétendant que
personne,
pas même les parents, ne peut empêcher un adolescent
d'avorter.
LoveLife encourage également l'expérimentation des
pratiques
sexuelles, y-compris de
l'homosexualité.
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L'emballage
marketing de
l'idéologie droit-de-l'hommiste de l'UNICEF cache
mal ses objectifs malthusiens et eugénistes visant l'Afrique
sub-saharienne.
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Le
rapport
raconte comment l'UNICEF a abandonné son approche traditionnelle
envers
l'éducation sexuelle, la formation à l'abstinence et
à la
fidélité, et l'a remplacée par des programmes
d'éducation sexuelle assez crus couplés à la
distribution
de préservatifs. La politique officielle de l'UNICEF est
maintenant de
"favoriser et étendre l'accès aux services de
santé
sexuels et reproductifs, y-compris l'accès aux
préservatifs."
Lors d'une réunion de juin 2003, un fonctionnaire de haut niveau
de
l'UNICEF a même appelé l'UNICEF "à rendre les
préservatifs disponibles et accessibles à tout le monde,
partout
et à tout moment. Car l'abstinence n'est pas une option
réaliste
pour la plupart des jeunes dans le monde aujourd'hui."
C-FAM a
appelé à une
campagne internationale des citoyens et des responsables politiques
pour ramener
l'UNICEF à sa mission principale, qui est la survie de l'enfant.
"L'UNICEF a été trop importante pour se perdre dans
cette
idéologie extrémiste," a déclaré le
vice-président de C-FAM Douglas A. Sylva, qui est aussi auteur
du nouveau
rapport. “L'UNICEF a une réputation à protéger
et
beaucoup d'employés qui veulent qu'elle retourne à sa
mission
originelle. Nous l'avons entendu d'un bon nombre d'entre
eux."
Le rapport
de 92 pages (en
Anglais) est disponible sur C-FAM ou
ici.
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Bulletin "Droit
à la Vie" juillet 2004