Tiers-Monde : un
témoignage du terrain
Le Père Giorgio, de formation monastique
et médicale exerce son ministère
en Amérique latine, en extrême Orient et en d''autres
parties du Monde. Il est témoin de la tentative
d'infiltration de ces continents par la culture de mort anti-femme et
anti-famille, notamment sous forme de contraception,
d'avortements, de stérilisations forcées, de vaccins
abortifs, de perversion de l'intelligence par les moyens
de communication (messages directs ou subliminaux), de tromperies, etc.
Il fait actuellement une tournée en Europe
pour dénoncer cet impérialisme
eugéniste, par des conférences, radios, etc.
Pourquoi la culture de mort ?
Ce qui motive la culture de mort, ce n'est pas
d'abord l'argent : il s'agit essentiellement
d'une lutte spirituelle ; St Paul dit que notre lutte n'est pas contre
des êtres de chair et de sang, mais contre
des puissances de l'air, c'est à dire contre le Malin, le
démon.
Je crois que c'est important, parce qu'on assiste
ici à une lutte de l'ange des
ténèbres, Lucifer, Satan, contre Dieu. Une lutte perdue
d'avance, il le sait très bien ; mais
comme le démon ne peut pas toucher Dieu, il va tâcher de
Le toucher dans Sa création et surtout dans
Ses créatures les plus précieuses : les âmes
immortelles ; empêcher Dieu de les créer
pour combler le Ciel d'élus et précipiter le plus
possible d'âmes en Enfer. D'où deux grands
types d'attaques :
1) rendre le monde apostat, rejetant son
Créateur en multipliant les
tentations et en rendant la vie en état de grâce presque
impossible aux Chrétiens.
2) détruire l'ensemble
famille-femme-sexualité. Il a commencé
depuis le paradis terrestre car la condamnation qu'il a reçue («elle
t'écrasera la tête»,
Genèse 3:15) lui est restée en travers de la gorge. Son
ennemi est la femme dans son double mystère
de Virginité et de Maternité ; c'est d'abord contre
elle qu'il va déclencher l'attaque. En effet
Dieu ne crée pas les âmes tout seul mais les
co-crée avec un couple humain, grâce au don extraordinaire
de la "sexualité" - que Dieu n'a pas donné aux anges -
dans le sein de la famille et très
particulièrement dans le corps de la femme.
La sexualité est quelque chose
d'extraordinaire que Dieu a inventé, et l'adversaire
a découvert qu'il était relativement facile de la
pervertir chez les humains en détournant ce don de
ses objectifs. Il se sert dans ce travail de destruction d'un certain
nombre d'organisations internationales très
puissantes et sectaires, toutes liées à
l'idéologie eugéniste.
Ces organisations font depuis bientôt un
siècle un travail d'influence considérable,
alors que les Églises leur ont laissé le terrain
quasiment libre.
La méthode
appliquée au Tiers-Monde
Le planning familial américain a
exercé de multiples pressions avec succès
sur les politicien américains. En 1969 son
vice-président, Frederick S. Jaffe résumait la trentaine
de mesures qu'il prônait pour réduire la fertilité1 :
Restructurer la famille par la taxation du
mariage et une taxation supplémentaire par enfant.
Forcer les femmes à travailler à
l'extérieur sans fournir de crêches.
Limiter ou supprimer les aides à la
maternité et aux familles nombreuses.
Faire avorter de force les femmes non
mariées.
Institution du permis de grossesse.
Diverses incitations financières à
la contraception, la stérilisation et l'avortement.
Stérilisation obligatoire après le
second enfant.
Inciter les jeunes à
l'homosexualité ou à la promiscuité sexuelle hors
mariage.
Infecter les réseaux d'eau potable avec
des contraceptifs.
etc.
Toutes ces mesures sont conçues pour
être imposées aux pays en échange
de promesses d'aide économique ou autres.
Cette politique eugéniste est devenue une
réalité de plus en plus
présente et l'on observe maintenant :
La promotion de l'avortement défini comme
un droit fondamental de la femme2.
L'infection des réseaux d'eau potable et
des suppléments alimentaires -
bizarrement exclusivement réservés aux femmes
enceintes ou allaitantes - avec des
contraceptifs.
Des campagnes de stérilisation
forcée et l'imposition de quotas a respecter en matière
de ligature des trompes, de vasectomies, de pose de stérilets,
d'implants abortifs (Norplant).
Des vaccinations avec des vaccins incluant
systématiquement des agents contraceptifs et abortifs comme
l'hormone hCG (chorionique gonadotrope responsable du maintien de la
grossesse), l'antigène anti zone pellucide (qui détruit
tous les ovules futurs chez la jeune fille vaccinée),
l'antigène anti-sperme pour les garçons.
Des programmes de vaccination imposés
sans possibilité de contrôler le contenu exact des vaccins
ni de choisir un autre fournisseur que celui qui est imposé
(OPS).
Des préservatifs comportant des
micro-trous et qui facilitent ainsi la multiplication du SIDA et
d'autres MST.
L'obligation d'importation de maïs
américain Monsanto3 (ou d'autres énormes lobbys du grain comme Cargill,
ADM, Dreyfuss, Bunge & Borne, Mitsui & Feruzzi) couvrant
jusqu'à 30% du besoin national.
L'imposition de manuels et cours
d'éducation sexuelle pour la perversion de la jeunesse
dès l'école primaire.
La banalisation du "sexe" : la
sexualité est rabaissée à du "sexe" et à du
plaisir qu'il s'agit de maximiser ! Chacun a droit à une
vie sexuelle satisfaisante ; et donc chacun est libre de choisir
sa propre orientation sexuelle : hétérosexuelle,
homosexuelle, lesbienne, bi-sexuelle, trans-sexuelle ou zoophile4, incestueuse, pédophile5, sado-masochiste, etc.
Des politiques de destruction de l'institution
familiale : forcer la femme à travailler hors du foyer,
pénaliser la famille plutôt que de l'aider.
Tous ces points aberrants sont contenus dans la Charte
des droits sexuels et reproductifs6 visant les enfants et les adolescents et
présentée a l'ONU par l'IPPF, héritier historique
de l'eugénisme, soutenue par des ONG "féministes", "gay"
et autres. De fait, cette "charte"
se trouve imposée aux gouvernements des pays sous le nom de «lois
de santé reproductive»
avant toute discussion de pactes d'accords économiques,
culturels, etc.
Si cet eugénisme a trouvé le moyen de
se développer, c'est que ses
promoteurs ont trouvé des oreilles attentives dans l'État
fédéral américain et à
l'ONU, et aussi des finances abondantes. Ces politiques sont conduites
avec peu de subtilité, c'est-à-dire
avec une grande brutalité, dans les pays en voie de
développement : les gens y sont moins bien informés,
ils manquent d'argent et n'ont pas les moyens d'attaquer en justice
ceux qui les agressent, c'est-à-dire les grands
lobbys pharmaceutiques ou agro-alimentaires, les grands organismes
privés ou publics, les institutions financières
internationales.
Parmi les plus connus l'USAID et le FNUAP qui dépendent respectivement des États-Unis et des Nations Unies, l'IPPF ou Planning familial, le World Food Program, la Banque Mondiale, le FMI, l'USDA (ministère de l'agriculture des USA), l'OMC (organisation mondiale du commerce), l'OMS, l'UNICEF, le MSI (Marie Stopes International) qui sévit actuellement en Afghanistan. Ces organisations préparent les textes de loi pour les gouvernements afin d'imposer leurs mesures d'élimination de la population locale et de mettre la main sur les richesses minières et autres du pays7.
Une affiche de propagande de 1986 : "Exécute la planification familiale, applique la politique nationale de base" |
Récemment le FNUAP a défrayé la
chronique en Tanzanie où le
gouvernement local a refusé un cargo du FNUAP qui livrait 10
millions de préservatifs, pour cause de micro-pores
dans la membrane de latex de ces "capotes". Ils ont donc détruit
la cargaison d'une valeur marchande de
900 000 $US. Ce qui est exceptionnel dans cette affaire ce n'est pas la
mauvaise qualité de la marchandise, c'est
le fait qu'il y ait eu un contrôle !
Des vérités
cachées
Dans les pays occidentaux développés,
également, comme en France,
les médias appliquent les grands principes
maçonnique : "Faites des coeurs vicieux et vous
récupérerez des cadavres de jeunes chrétiens",
"corrompez, corrompez, faites qu'ils
respirent le vice par les cinq sens", "mentez et changez le
sens des mots, ils finiront par penser et se
comporter comme vous le voulez sans même s'en rendre compte."
jetant la jeunesse et l'enfance sans défense
dans la perversion la baptisant du nom de «sexualité
protégée» (safe sex). C'est une fiction,
car on oublie de citer les fameux micro-trous du préservatif.
Plusieurs médecins, en France, ont fait des
travaux sur ce sujet et quelques livres ont été
écrits, notamment par feu le Pr Lestradet. Beaucoup
d'autres scientifiques ont écrit sur le mensonge du
préservatif et l'on observe qu'il pousse les jeunes vers
une activité sexuelle au mépris des lois de Dieu, et que,
dans tous les pays où passe le préservatif,
le nombre de malades du SIDA croît de manière
exponentielle. Comment ?
Parce que tous les
préservatifs ont des micro-trous qui font de 5 à
10 microns de diamètre ; or la tête d'un
spermatozoïde fait 7 microns, à peine plus
gros que les trous. Les tests que font les fabricants de
préservatifs consistent à faire passer des ions
électriques,
ce qui ne permet de détecter que des micro-trous d'au moins 10
microns.
Or le virus du SIDA, le VIH, est 500 fois plus
petit que la tête d'un spermatozoïde.
Comment le préservatif pourrait-il donc
«protéger» ? Plus grave : les
préservatifs
vendus en Afrique ou en Amérique Latine sont de tellement
mauvaise qualité qu'ils sont interdits à
la vente aux États-Unis. Parce qu'aux États-Unis, si un
produit provoque un problème, le client peut
attaquer le fabricant en justice et ce dernier va perdre le
procès.
L'impérialisme abortiste
Par contre, dans le Tiers Monde, les gens meurent
avant de dénoncer les abus dont
ils sont victimes. Par exemple, lors des campagnes systématiques
de stérilisations forcées qui ont
eu lieu dans tous les pays pauvres (Afrique, Asie, Amérique
Latine, du Mexique au Chili et à l'Argentine)
après un accouchement dans les hôpitaux civils, si un
médecin n'arrive pas à convaincre une femme
de se faire stériliser, il lui met en place un ou deux
stérilets à son insu. Ils pratiquent jusqu'à
30% de césariennes, parce que cela leur permet de pratiquer une
ligature des trompes. Dans les «maquiladoras»
ou usines en zone franche dans les pays pauvres d'Asie ou du
Guatémala, qui fabriquent des vêtements, des jeans,
des composants d'ordinateurs, des chaussures, etc. pour Nike, Adidas,
Nestlé, Levis, et des multinationales sans
scrupule, la condition d'embauche est d'avoir les trompes
ligaturées ; ou bien des médecins passent sous
prétexte de faire gratuitement aux jeunes ouvrières un pap-test
et en profitent pour leur mettre un
sterilet. En Équateur dans des ateliers de textiles et de
confection, les médecins passaient auprès
de chaque machine a coudre où travaillaient des femmes et leur
injectaient du dépo-provera («contraceptif»
abortif a effet trimestriel) en leur disant qu'il s'agissait de
vitamines. Les forces armées US ont agi de même
après le 11 septembre en Amérique Centrale où,
pour remercier ces pays de leur collaboration dans la
lutte contre le "terrorisme", ils ont gentiment creusé des puits
dans lesquels ils ont placé des
produits contraceptifs à long terme !
Il y a une pression terrible sur les femmes de la
campagne qui représentent 90%
dans certains pays. Au Pérou, au Guatemala, 90 à 95% de
gens ne savent ni lire ni écrire, et donc,
pour eux, le médecin est une autorité respectable. Ces
derniers exercent des pressions continues sur les femmes
dans tous les "Centres de Santé", je l'ai souvent
constaté. On forme les médecins et les
infirmières sur la façon de convaincre les femmes de se
faire stériliser en leur disant: "si
vous n'acceptez pas qu'on vous le fasse, vous n'aurez pas droit au
service d'assistance... ni à l'aide alimentaire...
lors de l'accouchement suivant."
En Europe, on retrouve la même tendance, plus
discrète et visant surtout les
femmes issues de l'immigration qui n'auront peut-être pas les
moyens de se défendre. J'ai ainsi rencontré
de nombreuses femmes françaises ou maghrébines enceintes
qui ont subies des pressions continuelles extrêmement
agressives pour se faire ligaturer les trompes et qui se sont rendues
compte comme Mme X, d'origine maghrébine, mère
de 3 enfants, vivant a Paris, que le médecin français
(une femme), après lui avoir imposé une
césarienne non nécessaire, l'avait
stérilisée contre sa volonté et celle de son
époux.
De plus cette femme gynécologue l'avait poussée pendant
toute la grossesse d'une manière extrêmement
grossière à tuer ce bébé. Et tout cela dans
des établissements réputés
de la région parisienne !
Il est indispensable d'aider ces gens à
monter des procès, de façon
à poursuivre les médecins et les commanditaires de cette
idéologie.
Dans le Tiers Monde, c'est systématique et
les femmes qui ont subi une ligature
des trompes contre leur volonté ne savent ensuite pas pourquoi
elles n'ont plus d'enfants, et elles ne s'en préoccupent
pas tout de suite.
Un ou deux ans après, elles s'en
inquiètent et on leur répond :
"on ne sait pas ; c'est peut-être un problème
lié à l'alimentation, une contamination..."
et puis, très souvent, je peux en témoigner car je l'ai
constaté dans mon ministère de prêtre,
une femme a de très fortes douleurs au bas-ventre et des pertes
de sang, elle va chez le médecin :
"-Depuis quand vous l'avez ?
- J'ai quoi?
- Eh bien, votre stérilet...
- Quoi?
- Vous avez un stérilet dans votre
utérus...
- Et qui me l'a mis ?
- Je ne sais pas, mais il y est."
Et l'on découvre que c'est toujours quand la
femme a été dans les
"Centres de Sécurité Sociale", dans des hôpitaux
publics ou dans des organismes équivalents,
qu'on lui a posé un stérilet.
Les pays qui ont affaire à ces organisations
ont des quotas à respecter,
pour pouvoir continuer à recevoir des prêts. Par exemple,
le Mexique a moins de 100 millions d'habitants. Il
n'arrive pas à dépasser ce chiffre. Comptez que, sur 100
millions d'habitants, nous avons 50 millions de femmes,
Enlevez les femmes qui ont moins de 12 ans et celles qui ont plus de 48
ans qui ne sont plus fécondes, on arrive
à moins de 30 millions de femmes. Là-dessus, le Mexique a
un quota annuel de 500 000 ligatures des trompes
ou vasectomies et de 300 000 poses de stérilets. Cela nous
fait arriver à 800 000 personnes - arrondissons
à 1 million, car il y a d'autres techniques qui sont
également pratiquées. On demande donc aux médecins
de pratiquer 1 million de ce genre d'interventions par an, et ils sont
surveillés par ce qu'on appelle des "contrôleurs".
J'ai un ami médecin au Salvador, qui était
contrôleur du Gouvernement comme gynécologue, pour
le compte de l'IPPF, puis qui s'est converti. Ils s'est alors
dit : "ou je suis catholique, ou je ne le suis
pas". Il a donné sa démission : "Je ne peux
pas continuer : ce sont des choses
qui sont contre Dieu."
Lorsqu'on cherche, on trouve beaucoup de textes de
lois, de décrets, qui ont été
signés entre présidents de la République - je
pense nommément au président Portillo du
Guatémala, je connais le problème parce que j'en reviens,
et à d'autres pays. Ce sont des textes qui
ont à peine été publiés, un jour, au
Journal Officiel, personne ne les voit passer. Ce sont
des accords entre le gouvernement - par exemple du Guatemala, ou du
Salvador, et l'État fédéral allemand,
ou finlandais, ou suisse, etc. Par exemple l'État allemand, au
travers d'un organisme très puissant qui s'appelle
le GTZ8, s'occupe en fait
uniquement de stériliser les femmes. Dans ce genre d'accords (4
juillet 2001), l'État
allemand s'engage à envoyer des techniciens et des moyens
techniques dans le but de contribuer à "l'égalité
des sexes", en Anglais "gender equity", "equita in genero" en Espagnol.
C'est une expression un
peu technique, qui signifie en pratique promotion de la contraception
et de l'immoralité parmi les jeunes, par tous
les moyens. Dans le même temps, le document stipule que le
gouvernement local (équatorien, ou
guatémaltèque...),
s'interdit toute poursuite en justice des experts allemands
envoyés sur place, quels que soient leurs actes. C'est
à dire que ces gens-là, selon l'accord, ne pourront pas
être arrêtés ni être condamnés
en justice, même s'ils violent les femmes en question, s'ils les
stérilisent et même si les femmes s'en
rendent compte et les accusent, le texte précise en toutes
lettres : "le gouvernement s'engage à
ne pas poursuivre le GTZ, ni les techniciens allemands". Cela donne
l'idée de la brutalité de l'accord.
Le "vaccin" anti-grossesse
Utiliser des vaccins comme contaminants ou comme
vecteur d'un effet secondaire programmé
est une possibilité, très attractive pour les
contrôleurs de population eugénistes et les grands
laboratoires pharmaceutiques car les campagnes de vaccination touchent
des millions de personnes sans méfiance et
peuvent rapporter des millions de dollars.
C'est l'objet d'un des "paquets" que la Banque
Mondiale oblige les pays du Tiers
Monde à accepter : le paquet des vaccinations et surtout
des vaccinations stérilisantes et abortives.
Cette affaire-là est sérieusement et
massivement documentée. Pour
de très nombreux vaccins, la Banque Mondiale, ainsi que l'OMS
(Organisation Mondiale de la Santé) obligent
les ministères de la santé des pays pauvres à
vacciner leur population et à acheter leurs vaccins
exclusivement auprès de l'OPS pour l'Amérique Latine -
Organisation Panaméricaine de Santé,
qui est le nom à peine camouflé de l'OMS. Le contrat
stipule que les gouvernements n'ont pas le droit de faire
analyser ces vaccins. S'ils veulent cependant effectuer un
contrôle, ils ne peuvent le faire qu'auprès de trois
laboratoires qui dépendent exclusivement de la Banque Mondiale.
Chaque fois que nous avons fait analyser de manière
indépendante ces vaccins prélevés là-bas,
(Argentine, Nicaragua, Philippines, Mexique, etc)
- entre autres les vaccins antitétanique,
antidiphtérique, antivariolique, et plus récemment le BCG
et le vaccin contre l'hépatite B - nous avons
constaté que ces vaccins-là contiennent
systématiquement
la fameuse hormone hCG ou chorionique-gonadotrope. Le contrat
imposé par le FNUAP et l'USAID prévoit que les
gouvernements doivent vacciner toutes les femmes enceintes 2
à 3 fois durant leur grossesse - en France c'est
interdit - ainsi que les petites filles, (et pas les petits
garçons !) On s'est rendu compte que ce vaccin contenait
dans 4 cas sur 5 l'hormone chorionique-gonadotrope synthétique.
C'est une hormone que l'enfant, quelques heures
après sa conception, envoie à
sa maman, pour se faire reconnaître et ne pas se faire
détruire par le système immunitaire maternel ;
lorsque le corps de la mère la détecte, il comprend que
ce n'est pas un corps étranger à éliminer
ou à phagocyter mais que c'est un bébé, et il
bloque donc son système immunitaire pour implanter
l'embryon dans l'utérus. Les "birth-controllers" mettent cette
hormone hCG, légèrement modifiée,
dans les vaccins et, en vaccinant ainsi la mère enceinte, on
fait que la mère produit des anticorps anti-hCG
qui passent dans l'enfant ; or l'enfant dans le sein de sa
mère n'a pas de système immunitaire fonctionnant
à ce moment-là. Quand la petite fille naît, on la
vaccine avec le vaccin antitétanique 6 fois
dans la première année de sa vie, puis les
médecins passent de nouveau dans les écoles, en utilisant
l'arme de la peur et de l'ignorance, après les premières
règles et revaccinent toutes les jeunes
filles et jamais les garçons. C'est effrayant.
Lorsque la jeune fille va se marier, elle va concevoir
un enfant qui va lui envoyer cette même hormone hCG, pour lui
dire: "Maman, je suis là!" -
mais au lieu de reconnaître cette hormone comme signe de la
présence du bébé, le système
immunitaire de la mère va l'identifier comme un agresseur ;
elle va envoyer des anticorps pour détruire
cette molécule, c'est à dire qu'elle va couper le contact
vital entre l'enfant - âme immortelle - et
sa mère. Cela s'appelle un crime (avortement provoqué).
J'ai fait des recherches sur cette affaire dans
l'intranet médical réservé
aux chercheurs en milieu universitaire avec le docteur B., embryologue
dans une grande Faculté de Médecine
française.
Nous avons trouvé un programme de recherche
fait en Inde, financé par de
grands laboratoires pharmaceutiques internationaux, par le Population
Council, la Rockefeller Foundation et l'International
Development Research Center of Canada, qui dure depuis 33 ans, d'un
certain G.P. Talwar, en Inde, à l'Institut National
d'Immunologie de New Delhi, qui a fait des études
uniquement sur comment mettre dans les vaccins l'hormone hCG tout en
évitant un effet "cross-linked" avec
les hormones FSH, LH et TSH qui ont la même sub-unité Beta
que la hCG. Pendant 29 ans, de 1974 à 2003,
il a "pondu" jusqu'à 50 articles par an. Il a effectué un
travail énorme sur un seul sujet :
comment pouvons-nous utiliser les vaccins classiques pour obtenir
des effets abortifs et ainsi éliminer des
peuples entiers à leur insu.
Cette affaire est documentée par des
documents très sérieux qui sont
publiés sur le site Internet de l'OMS9 et par des publications scientifiques prestigieuses10. Les promoteurs ne
cachent pas ces documents, mais savent très bien que leur
caractère technique et le manque de liberté
de la corporation journalistique ne leur fait pas courir un gros
risque. Cela n'empêche pas l'OMS de nier l'utilisation
de ces produits à l'insu des populations, malgré les
preuves accumulées. Qui pourrait encore les croire ?
Toujours est-il que le vocable "vaccin anti-grossesse" a
été remplacé par le terme
plus inodore de "immunocontraception". De gros moyens
financiers sont consacrés à développer
des techniques encore plus diversifiées que le rejet de
l'hormone hCG.
Le SIDA comme outil de
contrôle des populations
Il y a une forte polémique sur l'origine du
SIDA : on soupçonne que
le virus du SIDA ait été créé de toutes
pièces par la CIA et les services de l'armée
américaine dans le cadre de la guerre biologique dans le
laboratoire de ultra haute sécurité P4 de
Fort Detrick, Maryland, USA, fondé en 1977. Le président
Nixon avait déjà débloqué
à la demande du Pentagone 10 millions de dollars en 1969 pour
produire des virus cancerigènes et un virus
capable de détruire le système immunitaire humain en peu
de temps, virus expérimentés en 1977
sur les prisonniers condamnés à mort ou à la
prison à vie en échange d'une promesse de
liberté en cas de survie. On se souvient de la campagne massive
de vaccinations contre l'hépatite B pratiquée
sur les minorités «gay» de New York... suivie peu de
temps après par l'explosion du SIDA dans
ces mêmes groupes. Cela expliquerait aussi l'apparition des
premiers cas de SIDA en 1979 chez ces mêmes prisonniers
homosexuels, libérés comme promis, dans les
«communauté gaies» de New York11.
Il y a aujourd'hui une autre hypothèse selon
lesquelles le virus du SIDA serait
le résultat de contaminations accidentelles par un virus SIV des
singes verts de vaccins contre la poliomyélite
fabriqués pour le compte des laboratoires Wistar de Philadelphie
en 1957-59 et administrés par l'équipe
du professeur Hilary Koprowski a 1,5 million d'enfants au Congo et au
Burundi (bizarrement la Wistar est un des partenaires
de Fort Detrick dans la fabrication et tests des virus à des
fins militaires). Edward Hooper dans son livre The
River relève que les régions du Congo où l'on
a administré en masse ce vaccin oral contre
la polio dans les années 50 sont précisément les
régions où l'on a découvert les
premiers cas de SIDA.12 La contamination de certains vaccins par des virus (le SV4013
ou l'hépatite) avait déjà été
prouvée.
D'autres faits14 sont volontairement occultés aux jeunes par les
gouvernements et les
laboratoires pharmaceutiques. Par exemple le virus VIH du SIDA est plus
présent dans la salive humaine que dans les
liquides génitaux et dans le sang, et donc la transmission par
voie salivaire existe - le fameux baiser «à
la française» avec échange de salive, où l'on
retrouve du sang de l'autre dans la salive de
95% des personnes après ce genre de baiser. Or les
leucocytes ou globules blancs infectés passent dans
la cavité buccale au rythme de 1 million par minute, et
jusqu'à 10 millions par minute. Vu que les sidéens
et les femmes utilisant la pilule contraceptive ont très souvent
des infections gingivales, abcès et ulcères
dans la bouche, le passage des virus infectieux dans le flux sanguin
est très facile. Quant à la prétendue
brièveté de vie du virus hors du corps humain, il suffit
de citer l'étude de l'Institut Pasteur - Unité
d'oncologie virale - publiée en septembre 1985 par le journal The
Lancet démontrant que ce virus «fragile»
est toujours infectieux après 15 jours à
température ambiante.
Il y a aussi une transmission par les moustiques et
autres insectes piqueurs. 90 virus
ou rétrovirus transmis par les insectes infectent l'être
humain. On a identifié après une étude
de plus de 5000 insectes capturés en Centre-Afrique la
présence de séquences proches du VIH-1 dans
l'ADN d'insectes de nombreuses espèces. (Laboratoire
de virologie moléculaire - Université de Paris, et
Institut Pasteur 1990).
En pratique, quelle que soit véritablement
l'origine du SIDA, on peut observer (voir
graphique) que près de trois quarts des personnes
infectées par le SIDA sont en Afrique subsaharienne15.
Le deuxième foyer d'infection étant l'Asie du Sud et du
Sud-Est. Fin 2001 on dénombrait en Chine communiste
850 000 personnes infectées, à cause, semble-t-il,
de prises de sang effectuées sans hygiène.
Or l'Afrique est la cible prioritaire des
eugénistes et la Chine est le terrain
d'action d'une clique communiste qui veut faire diminuer la population.
L'épidémie de SIDA est pour eux un
malheur qui tombe fort opportunément.
Comment agir en France
Tout d'abord la justice est dans les mains de Dieu.
Il agit et apportera la victoire, même
si nos pays sont dans un triste état et refusent de changer de
conduite. Nous devons vivre sous la grâce et
rester persévérants dans la prière.
Ensuite il y a du travail auquel chaque
Chrétien est appelé à participer :
face à ce programme de génocide universel et de
destruction des âmes immortelles diaboliquement organisé
avec des millions de dollars à disposition il faut s'informer et
faire connaître, utiliser les moyens de communication
modernes que sont les forums et les emails, il faut souvent aussi
convaincre le clergé de remplir son office en enseignant
correctement, et nous pouvons aussi aider les victimes.
Une association comme La Trêve de Dieu
a pour mission d'aider les victimes
de l'eugénisme, notamment en les soutenant pour qu'elles
puissent se porter parties civiles, afin qu'elles puissent
obtenir réparation et que les commanditaires eugénistes
cessent d'agir dans l'impunité et le silence.
Les adhérents et les sympathisants peuvent trouver ces victimes parmi leurs relations et leur transmettre ce genre de proposition.
1.
Jaffe, Frederick S. 1969. Activities
relevant to the study of population policy for the U.S. Memo to Bernard
Berelson, 11 mars 1969. In Elliott et al.,
1970, et autres sources convergentes. Ces propositions furent
exposées au congrès de Dacca en 1969.
2.
On retrouve cette promotion dans
le CEDAW (Convention pour l'élimination de toutes formes de
discrimination contre la femme) et avec la Cour Pénale
Internationale qui s'avère suivre une ligne pro-avortement.
3.
Monsanto est également fabricant
de produits abortifs et contraceptifs, de médicaments
variés, du "Roundup" herbicide et de semences
suicides car hybrides stériles, OGM ou non ; ce groupe est
un membre très influent de la FDA aux USA.
4.
Les animaux étant considérés
comme de lointains cousins descendant des mêmes ancêtres.
5.
Kinsey, auteur du célèbre
mais frauduleux "rapport Kinsey" de 1947, était
pédophile. Malgré l'affaire Dutroux la promotion
de la pédophilie des années 60 n'a pas cessé. On
trouve ainsi une forte insistance pour abaisser l'âge
de majorité sexuelle à 10 ans.
6.
"IPPF Charter On Sexual
And Reproductive Rights" visible en http://www.unfpa.org/swp/1997/box8.htm.
Ce document précise l'interprétation pro-avortement
que fait l'IPPF des différents documents et
conférences de l'ONU. On y découvre qu'ils se
prétendent des défenseurs du droit à la
vie, d'une part en omettant l'avortement comme violation de ce droit et
d'autre part en militant pour un "accès
à l'avortement" censé empêché des morts
maternelles, le mensonge classique des pro-avortement !
7.
Kissinger a rédigé
en 1974 le rapport secret NSSM n°200 pour mettre en place cette
politique. Ce rapport a été déclassifié
fin 1980, il justifie une politique eugéniste sous
prétexte de défendre les intérêts et
la sécurité des USA face aux risques d'une
prétendue "surpopulation" (voir sa traduction
sur le site de Transvie.) Cette tendance cynique avait
déjà un précédent : le rapport de
Georges Kennan intitulé PPS/23 : Review of Current Trends in
U.S. Foreign Policy, publié en Foreign
Relations of the United States, 1948, vol. 1, pp. 509-529 (v. http://www.russilwvong.com/future/kennan/pps23.html)
8.
Gesellschaft für Technische
Zusammenarbeit, Société pour la Coopération
Technique.
9.
Cela fait partie d'un programme
spécial de recherche grassement financé par : le
PNUD, le FNUAP, l'OMS, la Banque Mondiale, la Rockefeller
Fondation, la Ford Foundation, la Hewlett Packard Foundation (cf. HP),
la Bill & Melinda Gates Foundation (cf. Microsoft),
la John Mc Arthur Foundation, Ted Turner (ancien patron de la CNN) et
le Population Council (voir http://www.who.int/reproductive-health/stag21/stag_report_2003.pdf
et http://www.who.int/reproductive-health/management/atr_2003.pdf
[2005 : On peut constater en http://www.who.int/reproductive-health/management/hrp_ppb.pdf
que les "immuno-contraceptifs hCG" sont toujours au budget de l'OMS]).
10.
Par exemple dans les Proceedings
of the National Academy of Sciences, USA vol. 91, pp.8532-8536,
August 1994, A vaccine that prevents pregancy in
women, disponible sur :
http://www.pnas.org/cgi/content/abstract/91/18/8532
Voir aussi http://www.gyneweb.fr/sources/congres/jta/94/repro6.htm
(Le point sur les vaccins pour le contrôle de la
fertilité, Dominique Bellet, 1994) ; il existe même
une publication spécifique, le "American Journal of
Reproductive Immunology" !
11.
Voir les très nombreux
documents relatifs à cette polémique sur un moteur de
recherche Internet avec les mots «AIDS origin
Jacob Segal spread healing» et "Leonard G. Horowitz emerging
viruses AIDS Ebola WHO Africa".
12.
The River : A Journey
to the Source of HIV and AIDS, Edward Hooper, 2000. [2005 La controverse est bien documentée en http://en.wikipedia.org/wiki/OPV_AIDS_hypothesis et http://www.aidsorigins.com"] ;
elle permet de constater l'inertie des milieux dits scientifiques
à des remises en causes intelligentes et
documentées ;
le maintien des réputations et des bonnes affaires prime le plus
souvent sur l'honnêteté et la recherche
de la vérité.
13.
On a découvert a posteriori
une contamination de lots de vaccins contre la polio utilisés
entre 1957 et 1959 par le virus SV40 des singes (le
«simian virus 40»). Les études à ce jour
démontrent des complications de plus en plus nombreuses
liée au SV40 et sa présence trés fréquente
dans les tissus tumoraux prélevés chez
les nouveaux-nés décédés de tumeur au
cerveau de type médulloblastome - Cf. le livre
«Le vaccin hepatite B en accusation ? Les coulisses d'un
scandale» de Sylvie Simon, collection Résurgence.
De 1938 à 1942, certains vaccins contre la fièvre jaune
étaient aussi contaminés par le virus
de l'hépatite B. Récemment au Japon on a
découvert la présence de virus de la peste - made
in USA - dans des vaccins anti varioliques.
14.
Cf. AIDS Rage and Reality
- Why silence is deadly, Gene Antonio, 1993, Anchor Books, USA
15. Le Figaro, Le sida ravage plus que jamais l'Afrique, Martine Perez, 3 juillet 2002.
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à la Vie" mai 2003